Le conflit social qui secoue l’usine Samvaz SA est entré dans une nouvelle phase. En grève depuis vendredi dernier, les employés du secteur bois réclament un plan social jugé «digne». La direction estime en avoir fait assez.
Le ciel reste chargé au-dessus de l’usine Samvaz Bois à Châtel-Saint-Denis. Depuis vendredi dernier, une vingtaine d’employés, soutenus par le syndicat Unia, ont cessé le travail et revendiquent toujours un plan social «digne». Mercredi, les grévistes ont transmis à l’entreprise une proposition écrite, tenue secrète pour le moment, que la direction va analyser ces prochains jours. Une éclaircie se dessine, alors qu’après avoir émis une dernière offre refusée, l’entreprise ne souhaitait plus négocier en début de semaine.
Pour rappel, depuis l’annonce en février de la…