PATOIS
Depuis les années 1980, l’amicale du Takounè s’engage en Veveyse pour préserver le patois et transmettre un patrimoine linguistique en voie de disparition.
Le cœur de la Veveyse continue de battre en patois, sous l’impulsion de l’amicale du Takounè. «L’objectif a toujours été le même, à savoir de maintenir la langue vivante et la transmettre le plus possible», rappelle Charlotte Fisler, présidente de l’amicale et membre du comité cantonal fribourgeois des patoisants. Une mission à la fois linguistique, culturelle et profondément humaine, incarnée par des activités régulières qui animent encore aujourd’hui le paysage socioculturel veveysan.
L’idée qui a présidé à la fondation de l’amicale remonte au début des années 1980, alors que le patois, longtemps interdit dans les écoles…
