A quelques semaines près, cela fait un an que nous devons vivre avec ce maudit virus. Ayant certainement commencé à trouver le temps long, celui-ci a voulu se montrer facétieux en changeant son allure et en adaptant son nom. Quel mauvais goût, bon sang ! Nous lisons partout que la situation est appelée à durer plus longtemps qu’escompté, que la vaccination est prise de vitesse ou que les diverses mesures sont appelées à perdurer contre les avis de nombreux citoyens. Les espoirs sont vite douchés et la morosité gagne encore du terrain. Dans notre école, nous devons hélas aussi relever des élèves en souffrance, plus que d’ordinaire. Les enseignants ressentent aussi les effets de cette situation abominable et doivent composer avec des mesures parfois contradictoires. Néanmoins, face à ce…