Introspection émotionnelle

jeu, 17. oct. 2019

Depuis mon enfance, je me suis toujours posé une question. Je me demande pourquoi j’ai une «poussée de larmes» instantanée lorsque je vois le triathlète Alistair Brownlee porter littéralement son frère Jonathan, pris d’un malaise, quelques centaines de mètres avant l’arrivée du Triathlon de Mexico en 2016. Voir un enfant qui croit être champion olympique en franchissant la ligne d’arrivée des 10 kilomètres de Lausanne me met aussi la larme à l’œil. Ou encore le départ raté du relais féminin 4 x 100 mètres à la finale du championnat d’Europe à Zurich en 2014 qui a, malgré tout, su garder une solidarité exemplaire. Ou même la patineuse artistique Joannie Rochette, qui a eu le courage de s’aligner à la finale des jeux Olympiques d’hiver de Vancouver en 2010, trois jours après le décès de sa…

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